L’or souverain de ta Grâce
Le vin du printemps me conte sans cesse
l’haleine du silence
parmi le missel des champs et des bois,
ô ma Fée d’harmonie,
toi qui n’es qu’amour et lumière,
et irrigues la flamme de mon coeur,
tandis que dans les cieux brillent ce matin
des langueurs de liesse,
et des archipels d’harmonie.
Nous marchons le long du Loir,
main dans la main,
nos bas brillent sous les refrains du soleil,
souvent les chênes se penchent pour entendre
les stances de ton souffle,
je contemple à chaque instant la rose de tes lèvres,
l’or souverain de ta Grâce,
et il n’est pas rare,
que subjuguée par ta beauté,
je te psalmodie à genoux, face au monde,
des versets de splendeur,
et des odes saphiques,
car tu es ma Dame de douceur.
Ce soir, sur notre couche,
nudité contre nudité,
je te conduirai à nouveau,
vers
les prairies du stupre,
afin de célébrer
les heures ardentes de notre Jouissance,
et l’innocence de nos féminités si divines !
Sophie Rivière
Le vin du printemps me conte sans cesse
l’haleine du silence
parmi le missel des champs et des bois,
ô ma Fée d’harmonie,
toi qui n’es qu’amour et lumière,
et irrigues la flamme de mon coeur,
tandis que dans les cieux brillent ce matin
des langueurs de liesse,
et des archipels d’harmonie.
Nous marchons le long du Loir,
main dans la main,
nos bas brillent sous les refrains du soleil,
souvent les chênes se penchent pour entendre
les stances de ton souffle,
je contemple à chaque instant la rose de tes lèvres,
l’or souverain de ta Grâce,
et il n’est pas rare,
que subjuguée par ta beauté,
je te psalmodie à genoux, face au monde,
des versets de splendeur,
et des odes saphiques,
car tu es ma Dame de douceur.
Ce soir, sur notre couche,
nudité contre nudité,
je te conduirai à nouveau,
vers
les prairies du stupre,
afin de célébrer
les heures ardentes de notre Jouissance,
et l’innocence de nos féminités si divines !
Sophie Rivière